« Si nous ne mettons pas en avant le dialogue, les multinationales peuvent mettre le feu dans notre pays avant de prendre tout notre pétrole ». C’est du moins l’avis du secrétaire général national de la coordination du Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES), Malick Fall. Il l’a fait savoir lors de la cérémonie de pose de
« Si nous ne mettons pas en avant le dialogue, les
multinationales peuvent mettre le feu dans notre pays avant de prendre
tout notre pétrole ». C’est du moins l’avis du secrétaire général
national de la coordination du Syndicat Autonome de l’Enseignement
Supérieur (SAES), Malick Fall. Il l’a fait savoir lors de la cérémonie
de pose de la 1ère pierre pour l’érection de la maison dudit syndicat à
Thiès, après celle de Ziguinchor. En effet, le SAES participe à
l’émancipation et au développement de l’enseignement supérieur mais
aussi à la stabilité sociale du pays. Pour ce faire, indique Malick
Fall, le dialogue est indispensable. » Ce que nous attendons du nouveau
gouvernement, c’est le rassemblement de toutes les forces vives de la
nation autour d’une table pour discuter des questions essentielles qui
concernent l’avenir de notre pays. » La cérémonie s’est déroulée en
présence de la rectrice de l’Université de Thiès, Ramatoulaye Diagne
Mbengue, du professeur Matar Mour Ndiaye Seck ancien recteur de l’Ut
entre autres. Une enveloppe de 5 millions 500 mille Fcfa a été décaissée
par le bureau national du SAES pour le démarrage des travaux.
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